Sources et ressources utiles
Questions-réponses : OPALE 2.0 - Dispositif d’Aide au Loyer
Les points essentiels du dispositif « OPALE 2.0 – Dispositif d’Aide au Loyer » sont exposés ci-après. Vous y retrouverez l’objet, le montant, les conditions et les opérations prises en charge.
Quel est l'objectif de l'aide au loyer OPALE 2.0 ?
L’objectif du dispositif OPALE 2.0 – Aide au Loyer est de soutenir les porteurs de projets dans la création ou le développement de leur entreprise. Cette aide intervient pendant les premiers mois suivant le lancement ou l’expansion de l’activité.
Quels sont les montants de l'aide au loyer OPALE 2.0 ?
Le dispositif OPALE 2.0 propose une aide au loyer selon deux catégories de bénéficiaires :
- Pour les créateurs d’entreprises :
- 1ère année : prise en charge de 30% du loyer ou de la mensualité du prêt immobilier, plafonnée à 500€
- 2ème année : prise en charge de 20% du loyer ou de la mensualité du prêt immobilier, plafonnée à 500€
- Pour les porteurs de projets :
- 1ère année : prise en charge de 20% du loyer ou de la mensualité du prêt immobilier, plafonnée à 500€
- 2ème année : prise en charge de 15% du loyer ou de la mensualité du prêt immobilier, plafonnée à 500€
Quelles opérations sont financées par OPALE 2.0 ?
Les opérations pouvant être financées par OPALE 2.0 sont :
- La prise en charge partielle du loyer
- La prise en charge partielle de la mensualité de remboursement du prêt immobilier
Qui peut bénéficier de l'aide au loyer OPALE 2.0 ?
Les entreprises pouvant bénéficier du dispositif OPALE 2.0 – Dispositif d’Aide au Loyer sont :
- Les créateurs de projets
- Les porteurs de projets souhaitant développer leur activité
L’effectif de l’entreprise doit être inférieur à 10 salariés.
Les secteurs éligibles comprennent :
- Le commerce
- L’artisanat
- Les services
Quelles sont les conditions pour l'aide au loyer OPALE 2.0 ?
Pour bénéficier du dispositif OPALE 2.0 – Aide au Loyer, les conditions suivantes s’appliquent :
- Les porteurs de projet doivent s’engager à maintenir leur activité sur le territoire communautaire.
- La durée minimale de maintien de l’activité est de trois ans.